Aus Daniel Robert Hunzikers «Gehegen» sind die Tiere längst wegrationalisiert; seine voluminösen Kubaturen heissen zwar «Buildings», sind jedoch nicht bewohnbar; und seine Geländer sind so platziert, dass sie nirgendwohin führen. Der 45-jährige Zürcher entwickelt kontinuierlich eine funktionsfreie Architektur der Skulptur weiter, wie seine aktuellen Einbauten ins Kunsthaus Langenthal und in die Basler Galerie von Bartha zeigen.
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