Depuis une vingtaine d'années, Christian Robert-Tissot utilise, dans ses tableaux et ses objets en trois dimensions, des mots et des phrases qui laissent planer le doute sur leur énonciateur. Bien que faciles à comprendre, quelque chose en eux résiste à l'interprétation littérale. Le langage prend-il fin où commence la peinture ? Est-ce le contraire ?
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