Erhängt, erschossen, zerfetzt - die Bieler Malerin Valérie Favre beschäftigt sich seit zehn Jahren mit den unterschiedlichsten Techniken des Suizids. Die über 100-teilige Gemäldeserie, welche die Künstlerin auch als ultimative Freiheitsbejahung verstanden wissen will, ist nun in der Galerie Peter Kilchmann.
Valérie Favre · Jürgen Möllemann, gestürzt, 2008, Öl auf Leinwand, je 24 x 18 cm. ©ProLitteris.
Foto: Thomas Strub
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