Weit davon entfernt, klassischen skulpturalen Schönheitsidealen zu genügen, verlieh Germaine Richier dem Unschönen geistige Dimensionen. Abseits von avantgardistischen Strömungen ging die Ausnahmekünstlerin unbeirrt ihren Weg. Nun ehrt das Kunstmuseum Bern das Œuvre mit einer Retrospektive.
Germaine Richier · La Chauve-souris, 1946, Bronze, 91x91x52 cm ©ProLitteris. Foto: Thierry Dehesdin
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