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Pascal Pinaud

Cherchant toutes les dérobades à l’égard de la peinture dans le temps même où il en convoque l’idée, traçant obstinément les fragiles frontières de celles-ci comme on égrène un chapelet («Moulin à prières», 1996), Pascal Pinaud, par sa propension à multiplier les scénarios, brouille les pistes en affirmant son indépendance: peintre, non-peintre, praticien de l’objet, il est aussi scénographe de ses expositions.


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