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Happyness overdose

À Bienne, Fabrice Gygy délaisse un temps le mode interactif pour la frontalité. Monochromes alignés comme à la parade, scandant l’immaculée perfection des salles du musée. La bâche est tendue, la violence est contenue. La fête est terminée. S’agit-il d’intimider le spectateur? Également peaux et frontières, ces images deviennent la métaphore de l’artiste et d’une situation ambiguë qui excède le cadre de l’exposition.


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