Für die Arbeit des jungen Belgiers Kris Martin müsste man vielleicht den Begriff des existenzialistischen Surrealismus lancieren. Existenzialistisch ist sein Werk ganz buchstäblich, weil es sich immer sehr direkt mit der menschlichen Existenz, ihren Tücken und Freuden, auseinandersetzt. Surrealistisch ist es, weil Martin dafür meist ganz ungewöhnliche, installative Bilder findet.
Festum II, 2010, Bronze (Konfetti), Masse variabel, Edition 1 + 1 AP, Courtesy Sies + Höke, Düsseldorf, White Cube, London, Ausstellungsansicht Aargauer Kunsthaus, Aarau. Foto: Dominic Büttner
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